Description

Synercell Oméga 3 V

Tube de 200ml de gel -40 servings

 

Protégez votre organisme ! 

Les oméga 3 contribuent au bon développement et au maintien du fonctionnement normal de la rétine, du cerveau, du système nerveux, du système cardiovasculaire. Or il semblerait qu’aujourd’hui, la majorité de la population soit largement carencée en oméga 3 !

Dans sa formule déposée, en gel, synercell libère les pleins potentiels d’oméga 3 ALA de source végétale (non pollués comme ceux issus de poissons) et de très haute qualité en la rendant hautement biodisponible et assimilable pour en faire l’armure de votre organisme !

L’EPA et le DHA sont incorporés dans un grand nombre de nos tissus corporels. Ils jouent un rôle protecteur sur les membranes de nos cellules. il est très généralement admis que les oméga 3 contribuent aux éléments bénéfiques suivants.

Pourquoi choisir Synercell ?

Formule déposée qui libère les pleins potentiels des oméga 3 ALAde source végétale (non pollués comme ceux issus de poissons).
Concentration hors norme. Gel unique au monde qui rend les omégas 3 ALA hautement biodisponible et assimilable contrairement aux gélules, poudres…Bienfaits décuplés lorsu’ils sont consommés en Synergie avec les autres Synercell.

Pourquoi les omégas 3 sont ils indispensables à votre santé ?

Pour comprendre, vous devez savoir qu’il existe 3 catégories d’Omégas-3 :

L’acide alpha-linolénique (ALA) doit se trouver impérativement dans votre alimentation, puisque le corps humain ne peut pas le fabriquer. Il se concentre notamment dans les huiles végétales. Son apport conseillé pour un adulte est de 2 à 2,5 g par jour.

L’acide eicosapentaénoïque (EPA) peut être produit par votre organisme à partir de l’ALA. Vous pouvez le trouver également dans les poissons gras : sardine, hareng, maquereau, saumon. L’apport conseillé pour un adulte est de 250 mg par jour.

L’acide docosahexaénoïque (DHA) est très faiblement produit dans le corps humain à partir d’ALA et d’EPA (moins chez les hommes que les femmes). Il faut donc le consommer directement, sous forme de poissons gras. L’apport conseillé pour un adulte est de 250 mg. [2]

Une urgence de consommer plus d’omégas 3 : le point sur les carences en France 

En France, la dernière étude Individuelle Nationale des Consommations Alimentaires (INCA 3, 2017) révèle des apports moyens insuffisants en Oméga-3 dans toutes les catégories d’âge. 

Cette étude met en évidence que les apports en Omégas-3 sont insuffisants en termes de quantité, mais aussi en termes d’équilibre avec les omégas-6 (ratio oméga-/oméga-3).

Soyons honnêtes, ces résultats sont le reflet de nos choix alimentaires, peu qualitatifs, portés sur des aliments industriels contenant des matières grasses riches en oméga-6 (résultant d’un rapport oméga-6/oméga3 trop élevé), et d’une faible consommation d’aliments riches en oméga-3, notamment en EPA et DHA (consommations insuffisantes de poissons type « poissons gras » et d’huiles végétales riches en oméga-3 ALA [3]).

L’impact de cette carence généralisée sur votre santé.

Les Omégas-3, et particulièrement les précieux EPA et DHA, ont fait l’objet de nombreux travaux scientifiques et sont à ce jour bien connus pour leurs bénéfices sur notre santé [5].

Une méta-analyse réalisée en 2016 a rapporté que leur consommation et leur niveau plasmatique étaient inversement corrélés à tout type de cause de mortalité considérée [6].

L’EPA et le DHA sont incorporés dans un grand nombre de nos tissus corporels et notamment dans les membranes de nos cellules. Ils jouent un rôle protecteur (anti-inflammatoire) et permettent la fluidité des membranes cellulaires [7].

Plus spécifiquement, le DHA représente quantitativement l’Oméga-3 à longue chaîne le plus important dans les cellules neuronales, l’impliquant davantage dans les processus neurologiques et cognitifs.

L’EPA, quant à lui, est le précurseur des eicosanoïdes issus de la voie réactionnelle des Omégas-3 (prostaglandines, thromboxanes et leucotriènes), molécules qui permettent le contrôle de l’inflammation, lui conférant un rôle prédominant dans la protection cardiovasculaire [8].

Les déficits d’apports en Omégas-3 ne se manifestent pas par des symptômes cliniques à court-terme. C’est pourquoi, palier aux déficits en Oméga-3 permet d’agir spécifiquement en prévention du risque d’apparition de dysfonctions à long terme parmi lesquelles on distingue :

• Les troubles cardiaques [9-10-12]
• Les troubles neurologiques [15,16]
• Les états inflammatoires [17,18]

 Le rôle des omégas 3 pour prévenir des maladies à long terme : Les Omégas-3 jouent tout d’abord un véritable rôle en prévention primaire, c’est-à-dire en prévention à long-terme, de phénomènes physiopathologiques qui apparaissent au cours temps (maladies liées au vieillissement, maladies à évolution lente…).

Mais les Omégas-3 sont aussi capables d’agir en prévention secondaire, notamment sur la diminution du risque de récidive d’accident vasculaire, le traitement du syndrome des yeux secs [19], la diminution des complications liées au syndrome métabolique…

Aussi, car votre capital santé se met en place très tôt, les Omégas-3 sont déterminants lors de périodes cruciales pendant lesquelles les processus majeurs de développement ont lieu (développement tissus cérébraux et rétiniens) tels que la grossesse, l’allaitement et par conséquent toute la période périconceptionnelle [1].

Différentes études cliniques réalisées chez la femme enceinte ont montré que la supplémentation en Oméga-3 à longue chaîne (EPA et DHA) permettait d’améliorer significativement le statut en oméga-3 du fœtus et du nouveau-né [20,21].

Pourquoi ne pas simplement manger plus de poisssons ? L’importance de la supplémentation en omégas 3 ?

 Nos habitudes alimentaires occidentales se concentrent sur les gros poissons (thon, saumon…). Pourtant ils sont très pollués par des métaux lourds. Donc  pour consommer suffisamment d’oméga 3 DHA et EPA, il faudrait manger chaque jour une boîte de petits poissons (sardine..) avec son huile, ce qui représente un budget conséquent (en moyenne 4€ par boîte) !

La meilleure source d’oméga 3 ? L’huile de perilla

L’ALA (acide alpha-linolénique) est le véritable acide gras essentiel Oméga-3.

Il est vital de l’intégrer dans votre régime puisque votre corps ne peut pas le fabriquer.

L’ALA est converti par le corps humain (tout comme le font les poissons) en acide gras oméga-3 à longue chaîne, particulièrement en EPA et en DHA. Pour une conversion optimale, il est nécessaire d’avoir un apport équilibré en omega-3-6-9.

L’huile de périlla fournit un taux d’oméga-3 ALA de 67 % contre 12 % d’oméga-6 et 14 % d’oméga-9. Parmi les huiles végétales, celle de périlla est la plus concentrée en ALA (67 %).

La périlla est une plante utilisée en cuisine depuis l’Antiquité en Asie du Sud-Est. Elle est arrivée en Europe et en Amérique du Nord au 18ème siècle. Dès 1977, elle fait l’objet d’études qui démontrent ses formidables propriétés.

Synercell Oméga 3 V est une formule unique et déposée dont l’association d’huile de Périlla issue de l’agriculture biologique, de vitamine C Naturelle (Acérola), de vitamine E, de vitamine D3 et d’astaxanthine issue de l’algue Haematococcus Pluvialis, permet de répondre aux besoins quotidiens de votre organisme. De plus la vitamine D3 et l’astaxanthine aident à préserver la vue.[O7]

Pourquoi des omégas 3 végétaux ?

Tout ce qui provient de la mer est malheureusement pollué en métaux lourds et micro-plastiques comme le sont les oméga 3 issus de poissons.C’est pourquoi, pour fabriquer Synercell Oméga 3V, nous avons choisi l’huile de périlla issue de l’agriculture biologique qui conserve très bien l’ensemble de ses qualités nutritionnelles, sans altération dans le temps, car elle est très peu oxydable.

Mode d’emploi 

A consommer de préférence le matin à jeûn. Notre naturopathe vous encourage à adapter les doses en fonction de vos besoins et de votre ressenti.